mardi 30 juin 2020

34 Bareme des réservoirs cylindriques calculer parano d'un mètre de hauteur.

Bareme des réservoirs cylindriques calculer parano d'un mètre de hauteur.
Bareme des réservoirs cylindriques calculer parano d'un mètre de hauteur.

56 Barème des calotte sphérique.

Remarque: les calottes sphériques ayant une flèche de 10 cm. Par metres de corde sont affectés à la couverture de réservoir à la construction de voûte en général. On peut également construire des voûtes en coupole en béton armé translucide à condition de respecter la section d'acier donné par le barème. Les pavés de verre sont placées dans les intervalles laissé par le quadrillage des armatures. On coule ensuite dans les joints de 2 à 4 cm de mortier doser à 500 ou 600 kg de ciment par mètre cube de sable granuleux . Lorsqu'on construit le fond de réservoir circulaire il convient de donner à la calotte une flèche de 15 ou 20 cm par mètre 2 cordes.

Barème des calotte sphérique.

Sommaire

41 Château d'eau de capacité de 100 mètre cube et de capacité de 50 mètre cube.

31/35/36 Cuve en béton armé contenance de 80 à 120 hectolitres.





33 Barème des conduites pour dépression à 1 à 5 atmosphères.

Barème des conduites pour dépression à 1 à 5 atmosphères.

58 Barème des planchers à chambres d'air à nervures mince.

Barème des planchers à chambres d'air à nervures mince.

53 Plancher en brique creuse ordinaire armée

59 Maison antisismique

75 maisons populaires du même type que celles-ci ont été construite à Messine pour le compte du gouvernement italien d'après le projet est breveté Actis 1920- 1922.

60 Silo à fourrage en Béton armé


Calcul du béton armé. Barème des dalles sur 4 appuis armature orthogonale

Barème des dalles longues sur deux appuis

Caoutchouc


Le caoutchouc dont tout le monde connaît aujourd'hui les propriétés et les usages, se trouve dans un très-grand nombre de végétaux. On l'extrait généralement de l'hévéa guyanensis, arbre de la famille des euphorbiacées, au moyen d'incisions profondes faites dans l'écorce. Le suc blanc laiteux qui en découle est reçu sur des moules piriformes en terre, puis desséché au feu libre, ce qui lui donne un aspect enfumé. Ainsi préparé, le caoutchouc est livré au commerce sous la forme de petites bouteilles ovoïdes; il est assez semblable à du cuir, d'une couleur brune ou rousse, solide et très-élastique.
Le caoutchouc est insoluble dans l'eau et dans l'alcool, il se dissout facilement dans l'éther, le sulfure de carbone et dans les essences. Soumis à l'action de la chaleur, il se gonfle, se ramollit et se transforme, vers 150°, en un liquide visqueux qui persiste malgré le refroidissement. A une température plus élevée, il brûle au contact de l'air avec une flamme brillante et très-fuligineuse. Mais, de toutes les propriétés du caoutchouc, la plus remarquable est celle qui résulte de sa combinaison directe avec le soufre. Cette combinaison s'effectue soit en chauffant les deux corps à une température de 80 à 100°, soit en plongeant le caoutchouc pendant quelques minutes dans un mélange de 40 parties de sulfure de carbone et de 1 partie de chlorure de soufre. On obtient ainsi le caoutchouc vulcanisé, qui se distingue du caoutchouc ordinaire par sa couleur grisâtre, par son extrême souplesse et surtout par son élasticité plus grande et invariable aux diverses températures.

Le caoutchouc est composé de 87,2 de carbone et de 12,8 d'hydrogène. L'Amérique du Sud et l'île de Java sont les contrées qui fournissent la plus grande partie du caoutchouc actuellement employé dans l'industrie.

Savons

On désigne sous le nom de savons de véritables sels formés par la combinaison des acides gras stéarique, margarique et oléique, avec les oxydes métalliques.
Les savons que l'on emploie le plus ordinairement sont à base de potasse ou de soude; ce sont, par conséquent, des stéarates, margarates et oléates de potasse ou de soude. L'emplátre simple, dont on se sert en médecine, est un savon à base de plomb. Les savons de potasse, de soude et d'ammoniaque sont les seuls solubles dans l'eau ; ils sont aussi solubles dans l'alcool et dans l'éther.
Les savons à base de potasse sont mous; ceux à base de soude, au contraire, sont durs. Leur solution aqueuse est décomposée par les acides, lesquels s'emparent de la base et précipitent les acides stéarique, margarique et oléique sous la forme d'une émulsion.

Il en est de même avec tous les sels solubles autres que ceux de potasse, de soude et d'ammoniaque : ces différents sels, versés dans une dissolution de savon, y produisent des précipités insolubles d'acides stéarique, margarique et oléique combinés avec leurs bases : voilà pourquoi les eaux de puits chargées de sulfate de chaux ne peuvent pas dissoudre le savon.
On prépare les savons en unissant directement les corps gras avec la potasse ou la soude.

Pour les savons mous, on emploie les huiles de chènevis, de lin, de colza, que l'on combine avec de la potasse ; pour les savons durs, on se sert de préférence de l'huile d'olive, du suif, des graisses, etc., que l'on combine avec de la soude. L'emplâtre ou savon de plomb se prépare en soumettant à l'ébullition un mélange d'huile, de litharge ou protoxyde de plomb et d'eau.


Bougies stéariques

Les bougies stéariques, dont l'usage est aujourd'hui si répandu, sont entièrement composées d'acide stéarique préparé avec du suif de boeuf ou de mouton.
Pour fabriquer ces bougies, on commence par faire fondre le suis dans une grande cuve en bois contenant de l'eau chauffée à la vapeur.
Lorsque la fusion du suif est complète, on y ajoute de la chaux, et on agite le mélange pendant six à sept heures. Le suif est composé, avons-nous dit, de stéarine et d'oléine. Sous l'influence de la chaux, ces deux principes se dédoublent en acides stéarique et oléique, qui se combinent avec elle pour former un savon calcaire, et en glycérine qui se dissout dans l'eau.
On soutire de la cuve la partie liquide tenant en dissolution la glycérine, et on extrait le savon de chaux. Il ne s'agit plus alors que de décomposer ce savon et d'en séparer les acides gras.
Pour cela, on pulvérise le savon calcaire; on le place dans une cuve semblable à la précédente et on verse dessus de l'acide sulfurique étendu d'eau.
On chauffe légèrement; l'acide sulfurique s'empare de la chaux pour donner naissance à du sulfate de chaux qui se dépose au fond de la cuve, et les acides gras, devenus libres, viennent former une couche huileuse à la surface du liquide. On décante cette couche; et, après l'avoir lavée, d'abord avec de l'eau acidulée qui lui enlève les dernières traces de chaux, puis avec de l'eau pure, on la coule dans des moules en fer, où elle se solidifie en pains de 3 à 4 kilogrammes.
La matière ainsi obtenue n'est encore qu'un mélange d'acide stearique et oléique. Pour en extraire l'acide stéarique qui seul doit entrer dans la composition des bougies, on enveloppe les pains dans une serge et on les soumet à l'action d'une presse hydraulique. L'acide oléique s'écoule, et il reste sous la presse un tourteau solide entièrement composé d'acide stéarique.
On fait fondre de nouveau cet acide, et après l'avoir purifié par plusieurs lavages à l'eau bouillante, on le verse dans des moules cylindriques en plomb dont chacun porte sur son axe une mèche en coton tressé. Lorsque les bougies sont retirées de leurs moules, on les blanchit en les exposant pendant quelque temps à la lumière et à l'humidité, et on polit leur surface en les frottant avec du drap.