vendredi 28 février 2025

les greniers ventilés et non ventilés en hiver et en été.

L'image compare les greniers ventilés et non ventilés en hiver et en été. Elle est divisée en quatre sections, chacune illustrant un scénario différent.

1. Grenier ventilé en hiver (Vented Attic in Winter)

L'air entre par les soffites et sort par la faîtière.

La chaleur s'échappe à travers l'isolation mince des équipements CVC (chauffage, ventilation et climatisation).

Des fuites d'air conditionné passent par des mauvais joints comme les luminaires.

Résultat : perte de chaleur et inefficacité énergétique.


2. Grenier non ventilé en hiver (Unvented Attic in Winter)

Utilisation de mousse à cellules fermées qui empêche l'humidité et l'air chaud de pénétrer.

Seule une petite quantité de chaleur s'échappe.

La surface intérieure reste au-dessus du point de rosée, évitant la condensation.

Résultat : meilleure isolation thermique et moins de pertes d’énergie.


3. Grenier ventilé en été (Vented Attic in Summer)

L'air chaud entre par les soffites et sort par la faîtière.

Le soleil chauffe le toit, et cette chaleur est transmise à l'intérieur.

L'isolation mince ne bloque pas complètement la chaleur radiante qui se mélange à l'air conditionné.

Résultat : forte transmission de chaleur vers l’intérieur, ce qui augmente les besoins en climatisation.


4. Grenier non ventilé en été (Unvented Attic in Summer)

La mousse à cellules fermées empêche la chaleur radiante d’atteindre l’intérieur.

Seule une petite quantité de chaleur traverse l’isolation.

L'air conditionné reste dans l'espace conditionné sans fuite vers le grenier.

Résultat : meilleure efficacité énergétique et moins de stress sur la climatisation.


Conclusion

Les greniers ventilés permettent une circulation d'air mais souffrent de pertes d'énergie en hiver et d’infiltration de chaleur en été.

Les greniers non ventilés avec mousse isolante offrent une meilleure efficacité énergétique en réduisant les fuites d'air et en minimisant la chaleur radiante.



Schéma électrique d'un tableau de distribution domestique


L'image représente un schéma électrique d'un tableau de distribution domestique. On y voit des interrupteurs différentiels et des disjoncteurs connectés entre eux pour assurer la protection des circuits électriques d'une installation.

Description détaillée :

1. Interrupteurs différentiels :

Un interrupteur différentiel de 63A - 30mA - Type A en haut, qui protège les circuits dédiés à des appareils spécifiques comme la cuisine et la laverie.

Un interrupteur différentiel de 40A - 30mA - Type AC en bas, qui protège plusieurs autres circuits domestiques (lave-vaisselle, sèche-linge, prises, chauffage, éclairage).



2. Disjoncteurs :

Sous l'interrupteur différentiel 63A Type A, on retrouve deux disjoncteurs : 32A pour la cuisson et 20A pour la laverie.

Sous l'interrupteur différentiel 40A Type AC, plusieurs disjoncteurs protègent différents circuits :

20A pour le lave-vaisselle

20A pour le sèche-linge

16A pour les prises

10A pour le chauffage

10A pour l’éclairage




3. Câblage :

Chaque circuit est alimenté par des fils électriques de différentes sections :

2,5 mm² pour les circuits de 20A (lave-vaisselle, sèche-linge, prises)

1,5 mm² pour l’éclairage (10A)

6 mm² pour la cuisson (32A)


Les fils bleus représentent le neutre (N) et les rouges la phase (L).




Ce schéma illustre une installation électrique bien organisée, conforme aux normes, garantissant la protection des appareils et des personnes contre les surintensités et les fuites de courant.