mercredi 2 septembre 2020

5- Découverte de la carte Arduino

 





      Cours et exercices en pdf      

8- La résistance - correction(pdf)
9- La LED (aide : vidéo 1 - vidéo 2). (pdf)









4- Associations de dipôles

 



      Cours et exercices en pdf      

8- La résistance - correction(pdf)
9- La LED (aide : vidéo 1 - vidéo 2). (pdf)



3- La platine d'essai ou breadboard (cours en images)

 



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8- La résistance - correction(pdf)
9- La LED (aide : vidéo 1 - vidéo 2). (pdf)




2- Le sens du courant électrique (image)

 



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8- La résistance - correction(pdf)
9- La LED (aide : vidéo 1 - vidéo 2). (pdf)

1 - Découverte de Tinkercad circuits. (cours en images)

 





Tinkercad Codeblocks

Vidéo créer son premier objet sur codeblocks tinkercad.










mardi 1 septembre 2020

Tinkercad construction. Tutos vidéos sur youtube

 Tinkercad construction

# 1 introduction à Tinkercadd. (vidéo)
# 2 réalisation d'un porte clés sur Tinkercad. (vidéo)
# 3 réalisation d'un porte clés suite. (vidéo)
# 4 réalisation d'un nichoir pour oiseaux avec Tinkercad. (vidéo)

Tinkercad circuit, cours en pdf avec les explications en vidéos sur youtube

 


      Cours et exercices en pdf      

9- La LED (aide : vidéo 1 - vidéo 2)

      Vidéos      


#1- Introduction à Tinkercad circuit. (vidéo)

# 1-2 Qu'est ce qu'un dipôle (vidéo)# 2 Circuit avec une pile et une ampoule sur Tinkercad. Qu'est ce qu'une Pile. (vidéo)# 3 Eléments d'un circuit électrique de base expérience 1 (vidéo)# 4 Elements d'un circuit électrique de base expérience 2 (vidéo)# 5-1 Le sens du courant expérience 1  (vidéo)

# 5-2 Le sens du courant électrique expérience 2 sur tinkercad (vidéo)

# 6 Comment utiliser le Breadboard? (vidéo)

# 7 Associations de dipôles (vidéo)

# 8 Présentation de la carte Arduino (vidéo)

# 9-1 Allumer une led avec une carte Arduino  (vidéo)

# 9-2 Faire clignoter une led avec une carte Arduino (vidéo)

#10-1 Mesure de l'intensité du courant dans un circuit en série à l'aide d'un ampèremètre (vidéo)

#10-2 Mesure de intensité du courant dans un circuit en dérivation (vidéo)

#11-1 Mesure de la tension aux bornes de dipôles en série (vidéo)

#11-2 Mesure de la tension dans un circuit en dérivation avec un voltmètre (vidéo)

#12-1 Pourquoi on met une résistance avec une Led. (vidéo)

#12-2 Calculez la valeur de la résistance pour éviter d'endommager la LED avec une tension de 9V (vidéo)







mercredi 1 juillet 2020

Poteries

On donne le nom de poteries à tous les objets fabriqués avec de l'argile et soumis ensuite à l'action du feu. Les principales espèces de poteries sont la porcelaine, la faïence et la poterie commune ou terre cuite.





Telle est la disposition du four à porcelaine de la manufacture de Sèvres. Lorsque la cuisson est terminée, ce qui exige plusieurs heures, on arrête le feu et on laisse le four se refroidir lentement avant d'enlever les pièces.
On décore la porcelaine en recouvrant sa surface de couleurs ou de substances métalliques, mêlées à des matières vitreuses plus ou moins fusibles. Le mélange, réduit en poudre impalpable, est broyé avec des essences de térébenthine ou de lavande.


Les phares




L'emploi de la lumière pour guider les navigateurs pendant la nuit remonte à la plus haute antiquité. On citait comme une des sept merveilles du monde le fanal élevé sur la petite île de Pharos, voisine du port d'Alexandrie, sous le règne de Ptolémée Philadelphe.
De là vient le nom donné depuis à tous les appareils semblables.
Les anciens phares, dits phares de réflexion, se composaient d'un miroir sphérique ou parabolique en métal poli, au foyer duquel était placée une forte lampe. Ces phares sont aujourd'hui remplacés presque partout par des appareils à verres lenticulaires ou phares à réfraction, beaucoup plus puissants et moins dispendieux, inventés au commencement de ce siècle par Fresnel, le créateur de l'optique moderne.
Les rayons lumineux partis d'un point situé au foyer d'une lentille convergente forment, après avoir traversé la lentille, un faisceau de lumière parallèle à l'axe principal.
Mais il faut pour cela que le diamètre de la lentille soit suffisamment petit par rapport aux rayons de courbure de ses deux faces ou, en d'autres termes, que l'ouverture de la lentille ne soit pas trop grande. Dans le cas contraire, les rayons réfractés formeraient, en grande partie, un faisceau divergent dont l'intensité diminuerait rapidement avec la distance. Or, c'est précisément là ce qu'il faut éviter S dans la construction d'un phare, où il est cependant nécessaire, pour obtenir un éclairage intense, d'employer des lentilles d'une grande étendue superficielle.
Cette difficulté a été heureusement tournée par Fresnel, au moyen des lentilles dites annulaires ou à échelons, qui, tout en présentant une large surface, réfractent néanmoins dans des directions sensiblement parallèles tous les rayons émis par une source de lumière placée à leur foyer.
La figure (287) représente la section d'une de ces lentilles. A est une lentille plan-convexe dont l'ouverture est d'environ 15 degrés, et qui est entourée d'une série d'anneaux B, C, D, dont les surfaces convexes sont calculées de façon que le foyer de chaque anneau coïncide avec le foyer de la lentille centrale.
Il résulte de cette disposition que si une lumière intense est placée au foyer d'une telle lentille, tous les rayons lumineux formeront, après l'avoir traversée, un large faisceau parallèle qui, par un temps clair, pourra pénétrer à de très-grandes distances, son intensité ne s'affaiblissant que par son passage à travers l'atmosphère. C'est sur ce principe que repose la construction des phares modernes ou à réfraction. Dans les phares de premier ordre, qui peuvent éclairer la côte jusqu'à 15 ou 20 lieues en mer.




La source de lumière est une lampe Carcel à quatre ou cinq mèches concentriques*.
Autour de la flamme sont disposés, à une égale distance et à la même hauteur, plusieurs lentilles annulaires (fig. 288), de forme identique, d'où partent autant de faisceaux de lumière parallèles. Pour que ces divers faisceaux puissent éclairer succesivement tous les points de l'horizon, un mécanisme d'horlogerie fait tourner le système de lentilles autour de son axe vertical où se trouve la flamme.
Un observateur placé à une grande distance aperçoit le feu chaque fois qu'un faisceau lumineux passe devant lui; puis il cesse de le voir jusqu'au moment où la lentille suivante lui ramène un nouveau jet de lumière. Chaque apparition du feu se trouve ainsi suivie d'une éclipse dont la durée dépend de la vitesse de rotation de l'appareil et du nombre de ses lentilles.
Telle est la disposition des phares à éclipses ou à feux tournants. Quand plusieurs de ces phares sont situés à proximité sur une même côte, on fait varier pour chacun d'eux la durée et la succession de leurs éclipses, ce qui permet aux navigateurs de les distinguer l'un de l'autre, et de reconnaître ainsi le point de la côte qui est en vue.
Les phares qui n'ont pas besoin d'une très-longue portée, par exemple, ceux qui servent à signaler l'entrée d'un port ou l'embouchure d'un fleuve, sont généralement à feux fixes. Leur lampe, au lieu d'être entourée de plusieurs lentilles, est alors placée dans l'axe d'un cylindre lenticulaire, d'où s'échappe en divergeant une large nappe de lumière, qui éclaire à la fois tous les points de l'horizon.
* Quelques phares, entre autres celui du cap de la Fève, près du Havre, sont maintenant éclairés par la lumière électrique, obtenue au moyen de la machine magnéto-électrique de Nollet. Cette machine n'est autre chose qu'un assemblage de plusieurs appareils de Clarke disposés circulairement sur un bâti de fonte autour d'un arbre horizontal en fer, lequel porte de nombreuses bobines dont l'axe est occupé par un cylindre creux en fer doux. Ces bobines communiquent toutes entre elles, et sont mises en mouvement par une machine à vapeur, qui les fait passer successivement devant les pôles de puissants faisceaux magnétiques en fer à cheval fixés au pourtour de l'appareil sur plusieurs rangées transversales. De là résulte une succession rapide de courants induits, qui, convenable. ment recueillis et dirigés, donnent une lumière des plus vives.






Silice et silicates.



La silice ou acide silicique est composée d'un équivalent de silicium* et de trois équivalents d'oxygène. Cette substance est très-répandue dans la nature. C'est elle qui, à l'état isolé, constitue le quartz, le silex, la pierre meulière, les sables et les grès.
On la trouve en combinaison avec l'alumine, la potasse, la soude, la chaux, l'oxyde de fer, dans un grand nombre de roches ignées ou de sédiment, telles que les granits, les schistes, les argiles, etc. Sous ces différentes formes, la silice représente au moins les trois dixièmes de l'écorce minérale du globe.


Le cristal de roche incolore nous présente l'acide silicique à l'état de pureté parfaite. Il est alors cristallisé en prismes à six pans terminés par des pyramides régulières à six faces, appartenant au système rhomboédrique.
Sa densité est 2,6. Il est fixe et infusible au feu de forge; mais il se ramollit à la flamme du chalumeau à gaz oxygène et hydrogène.
Il est plus dur que le verre et l'acier trempé. Il est insoluble dans l'eau et inattaquable par tous les acides, excepté par l'acide fluorhydrique, qui le transforme en un composé gazeux que l'on désigne sous le nom de fluorure de silicium.
L'acide silicique peut être obtenu artificiellement. Pour cela, on chauffe dans un creuset de platine 1 partie de sable ou de grès pulvérisé et 2 parties de potasse. Le mélange entre en fusion et se transforme en un silicate de potasse soluble dans l'eau (liqueur des cailloux). On dissout la matière dans l'eau bouillante, et on verse dans la dissolution de l'acide chlorhydrique concentré. Cet acide s'empare de la potasse, et précipite l'acide silicique sous la forme de flocons gélatineux. L'acide silicique ainsi obtenu est légèrement soluble dans l'eau; ce qui explique sa présence dans quelques eaux minérales, ainsi que dans la séve de certaines plantes, telles que les graminées, les cypéracées, etc.
L'acide silicique a de nombreux usages. Il entre dans la composition du verre, du cristal, des émaux et des poteries. Nous avons vu qu'il fait également partie des mortiers et autres matériaux de construction.

* Le silicium est un métalloïde qui, par ses propriétés, se rapproche du bore et du carbone. Il est sous la forme d'une poudre brune, plus dense que l'eau, infusible et fixe au feu de forge. Chauffé au contact de l'air ou de l'oxygène, il brûle et se transforme en acide silicique. On l'obtient en calcinant dans un tube de verre un mélange de potassium et de fluorure double de silicium et de potassium.




Télescope de Newton




Les télescopes, qu'il ne faut pas confondre avec la lunette astronomique, bien qu'ils servent au même usage, sont des instruments avec lesquels on produit des images très-amplifiées des astres, en utilisant à la fois la réflexion et la réfraction.

Le télescope de Newton (fig. 286) est formé d'un long tuyau en cuivre au fond duquel est un grand miroir concave M en métal. En regard de ce réflecteur est un petit miroir plan CD, incliné de 45° sur son axe, et placé en avant de son foyer principal F. L'oculaire est une lentille convergente L, enchâssée dans un petit tube latéral, en regard du miroir plan. L'image réelle, qui se formerait au foyer principal du réflecteur M , si le miroir plan n'existait pas, est réfléchie par ce miroir en AB, entre l'oculaire L et son foyer principal. Il en résulte que cet oculaire fait encore fonction de loupe pour donner en A'B' une image renversée et très-amplifiée de l'astre.
 Le télescope de Newton a été perfectionné par Foucault. Cet habile physicien a remplacé le miroir en métal, dont la surface est sujette à se ternir sous l'influence de l'air humide, par un miroir de verre argenté chimiquement. Il a de plus substitué à l'oculaire simple un microscope composé qui permet d'obtenir un plus fort grossissement.